05 avril 2008

Edito par Homer


Bonjour à toutes et à tous !

Comment ça va ?

Moi ça va très bien. Je suis content de vous retrouver ce matin à l’occasion de cet édito.

En effet, après avoir céder ma place d’éditorialiste, la semaine dernière au profit de la gagnante du concours d’édito, je suis tout particulièrement heureux de vous retrouver pour vous faire part des idées que je viens d’avoir.

Lors du concours d’édito, j’ai remarqué que certains d’entre vous, chers lecteurs, m’avaient proposé de bons édito. C’est pourquoi, sans que ce soit sous une forme de concours, j’ai décidé d’ouvrir l’édito à tous. Alors si vous avez un sujet qui vous tient à cœur ou si vous voulez exprimer certaines de vos pensées et que vous voulez nous en faire part sous forme d’édito, vous pouvez me les proposer en MP, je me ferais un plaisir de publier votre proposition si elle est convenable, et si elle ne l’est pas, je me propose de vous aider afin de la modifier un peu pour qu’elle puisse paraître.

De plus, j’ai le désir de faire de temps à autre des gazettes qui tourne autour d’un thème, donc toutes vos idées de thèmes seront les bienvenues. N’hésitez pas à m’en faire part toujours en MP.

Parce que pour moi, vos avis sont les plus précieux, je vous invite donc à m’en faire part, et ensemble nous construirons une gazette beaucoup plus riche et qui ressemble à chacun de nous.

Sur ce, je laisse la place aux différents rédacteurs de cette semaine, je vous souhaite une très bonne lecture et à la semaine prochaine.

Miasme en 5 Questions par Homer



Ho : Comment te sens tu en ce moment?
Mia : Hmmm .. On le prendra pour une blague si je dis zen .. ? Nan mais par ce que c'est vraiment mon état d'esprit hin :o!

Ho : Quel est ton coup de cœur du moment ?
Mia : Mon coup de cœur ?! *Se frotte le menton* Je dirais … certaines personnes pour le moment qui me sont fort bien sympathique ! Et puis quelques musique de BB brunes ainsi que "Tais toi mon cœur" (oh oh ca tombe bien!) de Dionysos.

Ho : Quel est ton coup de gueule du moment ?
Mia : Mon coup de gueule … Ben là je vais pas chercher bien loin: ces *]%ùù@# de foutu examens ! C'est vrai quoi ! J'aurais bien voulu me détendre durant ces deux semaines mais non je dois vivre comme un rat mort (bon d'accord ca ne vis pas un rat mais quand même !) dans ma chambre à bosser mes cours alors que j'aurais pu sortir ! En plus j'ai DEUX réductions oui vous avez bien entendu DEUX réductions de 20% chez jbc°°° sur un article de mon choix ! Et voilà je n'ai pas le temps d'y passer à cause de ces ... Raa !!

Ho : Orange, jaune, vert, bleu ou violet ? Pourquoi ?
Mia : Hmm … Intéressant … Intéressant … Vous faites bien de m'en parler par ce que voyez vous. Tout est une question de longueur d'onde. Chaque couleur correspond à une longueur d'onde et donc à une fréquence. Le soleil nous fait parvenir la lumière blanche qui comprend toutes les fréquences! D'ailleurs si nous la décomposons en la faisant passer au travers d'une prise, nous arriverons à dissocier le rouge, le bleu, le vert, etc. A choisir, si je devais être une longueur d'onde j'aimerais être compris entre 570–590 nm, par ce que le jaune d'ici me fait un peux pensé à la méditerranée. Mais plus tard je compte bien descendre à 450–495 nm qui correspond au bleu parce que au final ce secteur ... j'ai envie d'y rester.

Ho : Une petite citation ?
Mia : Hmm je dirais... Que la vie est faite de rencontre qui nous construisent peux à peux (ba quoi j'ai bien le droit de sortir une citation de mon cru quand même).

Quelques petits mots sans grandes conséquences… par Mïo


Jeune fille désertée.

J’avance sans grande conviction, quant à tout ce qui se passe en bas, je ne sais pas où tout cela nous mènera. Tu as donc le choix de me suivre ou pas dans ce sinistre endroit. Après tout, je ne suis ni dieu, ni mage pour t’imposer de te laisser guider par quelqu’un qui t’est étranger

Je doute encore et toujours. Je me tais, forte de mes réflexions. La perception que j’ai de ce monde se doit d’être silencieuse pour être « efficace » cependant je brûle d’envie d’en parler, de t’expliquer comment je survis ici. Les sages de différents peuples m’inspirent et m’imprègnent dans ce quotidien obsolète qui perdure, au milieu, cette petite France qui s’ignore. Ils ont placé en moi le savoir et j’ai semé le doute et l’incohérence. A quoi bon grandir lorsque l’on sait que l’on détient un savoir certain mais que l’on est persuadée de ne jamais pouvoir l’exploiter pleinement car on est décimé par un surplus de ressentiments inconcevables. Je ne suis qu’une petite fille qui n’a même plus le mérite d’être sage...
Tant d’êtres me semblent fades, tellement de lieux n’ont plus d’âme, les supports fondamentaux de l’existence s’amoindrissent devant moi. Que puis-je faire ? Rien, alors à quoi bon ? L’humanité a bien changé, les gens ne croient plus en rien. Ils ont cessé de réfléchir lorsqu’ils ont acquis leur liberté, alors que c’est à ce moment là que commençait leur plus grand combat ! Ils ont creusé tant de fossés entre eux, ils restent seul dans leur infamie.
Ils ont tout oublié de leurs rêves d’enfants, pourquoi ? Ils ont perdu toute trace d’insouciance, comment ? Ils avancent encore et toujours et oui, c’est cela l’avenir ! Que croyais-tu ? Le monde n’est pas beau, il est même exécrable mais bon, c’est le nôtre. Il ne faut pas lui en vouloir nous sommes les auteurs de ce massacre. Seul on ne peut plus rien y faire mais ensemble nous pouvons désarmer cette bombe placée sous nos pieds. A force de courir dans l’autre sens on a oublié ce que l’on fuyait au départ et nous avons refermé la boucle du calvaire passé qui a choisi de s’éterniser. Ici, la société paraît forte et belle mais laisse-moi te dire :
« La personne pure ne paraît pas elle est. Elle ne s‘encombre pas de choses superflues, elle reste vide, impartiale. Une terre neutre impossible à conquérir, ni par le bien ni par le mal. Capable de tout, le pire comme le meilleur de ses mains s’écoulera. Peut-être le sang de la victoire ... »

« Je vis ici depuis déjà 10 ans et je regarde ce quartier passer de mains en mains les caïds se l’arrachent car les anges grouillent sans répit. Pour leur poudre ils seraient prêts à se vendre et à corrompre n’importe qui. Le manque fait son œuvre et personne ne vous le dit...

Je suis lasse de ces murs qui s’effritent au grè du temps, ils n’auront bientôt plus la force de tenir mes fenêtres...

Alors ça y est tu t’es décidé ? Tu me suis dans ce bas monde, ce microcosme sans queue ni tête ? Allons y, nous avons une longue route à faire, des tas de gens à suivre pour que tu puisses peut-être me connaître... »