18 septembre 2008

"Ces petites initiatives folles qui changent le monde" (par Pelisse)



Aujourd'hui, je vais vous présenter un gars ordinaire, Matt. Matt danse comme un pied, et pourtant..Un jour en voyage avec un ami leur vient l'idée saugrenue de filmer Matt en train de danser dans différents endroits. Ils en font une petite vidéo.Magie d'internet, la vidéo devient célèbre et un sponsor propose à Matt de repartir à travers le monde.

Et ça donne ceci:


39 pays, 7 continents... des milliers de personnes impliquées...

Je ne sais pas vous, mais je ne peux m'empêcher de me sentir émue en visionnant cette vidéo.

Vous voulez en savoir plus? Consultez le site de Matt: "Where the Hell is Matt?":



"Un écrivain, une histoire" : Maxime Chattam (par MindGame)



Au cours de son enfance, le jeune Maxime fait de fréquents séjours aux États-Unis : sa première destination en 1987 est Portland dans l'Oregon, ville qui inspire son premier roman. Durant son adolescence, souhaitant devenir acteur, il prend des cours de comédie au Cours Simon à Paris. Il obtient des rôles pour la télévision et la publicité.
Cette passion est vite abandonnée pour revenir à son premier amour : l'écriture. En 1988, il passe quelque temps dans la jungle thaïlandaise. Le journal qu'il écrit alors est sa première expérience avec l'écriture. Il la poursuit au début des années 1990 avec ses premiers essais littéraires d’abord inspirés de Stephen King et notamment du film Stand By Me tiré de la nouvelle Le Corps dans le recueil de nouvelles Différentes Saisons. C’est lors d’une répétition en 1995 pour le spectacle Angélique, Marquise des anges de Robert Hossein auquel Maxime Chattam participe qu’un des comédiens, Pierre Hatet, lui suggère d’écrire pour le théâtre. Il écrit alors Le Mal qu’il ne publie pas. Il ébauche son premier roman, Le Coma des mortels, fable humoristique sur la solitude, racontant un mois dans la peau d’un jeune homme plongé dans le coma, suite à un accident qui s’avère être une tentative de meurtre.

Ayant abandonné la comédie, il exerce quelques petits boulots avant de reprendre des études de lettres modernes. Il écrit Le Cinquième règne à cette époque puis fin 1999 devient libraire. Le Cinquième règne est publié bien plus tard, en 2003, sous le pseudonyme de Maxime Williams. Ce roman mêle la traque d’un tueur en série à un thème récurrent de la littérature fantastique — la découverte d’un grimoire magique par une bande d’enfants et les affrontements de groupuscules pour en avoir la possession — le livre est couronné par le prix du roman fantastique du Festival de Gérardmer.

Très vite, il se fascine pour les romans policiers mais, conscient des connaissances qu'il faut avoir pour ce genre d'écrits, il suit une formation en criminologie pendant un an à l'université de Saint-Denis. Durant cette année il apprend les rudiments de la psychologie criminelle, de la police technique et scientifique et de la médecine légale.
Début 2000, il s’attelle à la rédaction de L’Âme du Mal qu’il achève à l’automne 2001 et qui est publié en 2002 par Michel Lafon. Suivent In Tenebris et Maléfices.
Il présente L’Âme du Mal à Michel Lafon, un éditeur orienté exclusivement vers les thrillers américains. Cet éditeur décide de miser sur lui. Signé du pseudonyme de « Chattam », en référence à une petite ville de Louisiane, le livre crée la surprise et conquiert rapidement un public. Des critiques saluent ce jeune auteur français qui, pour eux, renouvelle de façon spectaculaire le genre, rompt avec la tradition du polar à la française.
L’Âme du mal raconte l’enquête menée par Joshua Brolin, transfuge du FBI au sein de la police de Portland en Oregon, aidé d’une jeune étudiante en psychologie. Un tueur abattu semble avoir ressuscité, mutilant ses victimes de manière rituelle, laissant des indices issus de la Bible Noire. Grâce à ce premier roman, Maxime Chattam convainc son éditeur de le laisser vivre de sa plume. Il désire écrire une trilogie sur le mal, dans laquelle le personnage de Brolin serait le fil conducteur. Plus abouti, le deuxième volet, In Tenebris (2003), plonge le lecteur dans les ténèbres de New York. Une femme retrouvée scalpée et traumatisée soutient qu’elle revient de l’Enfer. Aidée de Joshua Brolin qui a démissionné de la police, l’officier Annabel O’Donnel mène l’enquête. Mais devant la multiplication des crimes, ils abandonnent vite la simple piste d’un tueur en série : le tueur n’agit pas seul. Dans Maléfices (2004), Brolin et O’Donnel se trouvent confrontés à un serial killer qui momifie ses victimes dans de la soie d’araignée. À travers ces trois livres qui peuvent se lire séparément et qui fournissent trois définitions du tueur en série, Maxime Chattam a souhaité traiter le thème du mal du point de vue le plus réaliste. Quand L’Âme du Mal évoque le rôle de la famille dans la genèse du monstre, In Tenebris, lui, met en avant la société de consommation. Avec Maléfices qui constitue une fin d’histoire, renaît une certaine forme d’espoir.

Chaque tome de la trilogie représente une saison. L'automne pour L'Âme du Mal, l'hiver pour In Tenebris et enfin le printemps avec Maléfices comme dans la vie du héros de la série, Joshua Brolin.
Maxime Chattam sait utiliser les ficelles du thriller américain qu'il a assimilées : courts chapitres, tension permanente, rebondissements, scènes d’horreur, héros émouvants qui conservent une part de mystère, structure cinématographique… Dans un souci de réalisme, il confronte les dernières technologies de la police scientifique à des enquêtes que tout désigne de prime abord comme impossibles. Le but est de créer des atmosphères angoissantes et efficaces. Ses situations, avec des effets de miroir, laissent entrevoir de multiples dénouements potentiels.
Il fait partie de cette nouvelle génération d'auteurs français de romans policiers influencés par la culture américaine et revendiquant, en ce qui concerne les États-Unis, la puissance d'un imaginaire collectif (romans, série télévisées, films): Jean-Christophe Grangé, Laurent Botti, Alec Covin, Franck Thilliez...

Bibliographie :

Romans :
Le Cinquième Règne, sous le pseudonyme de Maxime Williams (Masque GF, 2003, Prix du Roman Fantastic'Arts du Festival de Gérardmer 2003)
La Trilogie du mal :
L’Âme du mal (Michel Lafon « Thriller », 2002, Grand Prix Sang d'Encre 2002)
In Tenebris (Michel Lafon « Thriller », 2003)
Maléfices (Michel Lafon « Thriller », 2004)
Le Sang du temps (Michel Lafon « Thriller », 2005)
Le Cycle de la vérité :
Les Arcanes du chaos (Albin Michel « Spécial suspense », 2006)
Prédateurs (Albin Michel « Spécial suspense », 2007)
La Théorie Gaïa (Albin Michel « Spécial suspense », 2008)
Nouvelles
Le Messager (disponible sur le site officiel, 2001)
Gregory Harville (disponible sur le site officiel, 2001)
Le sommeil des Icares (2003)
Carnages (Pocket hors commerce, 2006)
Anthologie
Et dans ce temps, une vie bascule : recueil du concours de nouvelles policières de Bessancourt (Mairie de Bessancourt, 2005)
Pièce de théâtre
Le Mal (disponible sur le site officiel, 1995)

"Sport" : Le Tennis (par goofy) 1ière partie



Le Jeu de Paume : ancêtre du TennisLe tennis, le badminton, le squash, la pelote basque ont pour ancêtre le Jeu de Paume.

Le Jeu de Paume a été inventé en France au XIIIème siècle (même si certains historiens ont pu trouver des variantes du Jeu de paume dés l’Antiquité). Le premier Jeu de Paume aurait été conçu par des moines qui voulaient faire un peu d’exercice. En utilisant, le sol, les murs et les poutres du cloître, les moines jouaient avec une balle (l’esteuf) et la paume de la main. D’où le nom "Jeu de Paume".

Au fil des siècles, le Jeu de Paume connut diverses formes. Pendant longtemps, on joua soit avec les mains, soit avec des gants. Mais vers la fin du XV°siècle, les gants furent renforcés avec des sortes de cordage ; car les mains devenaient trop douloureuses (les esteufs étaient en cuir ou contenaient de la chaux). Puis les battoirs en bois firent leur apparition mais ils restaient rudimentaires. Ce n’est qu’au XVI° siècle que l’on créa la première raquette dotée d’un long manche et d’un cordage en boyaux de mouton.

Pratiqué en plein en air (Longue Paume) ou dans une salle (Courte Paume) appelée Tripot, le Jeu de Paume devient, dans un premier temps, le loisir préféré des étudiants et des humanistes. Ce n’est qu’à partir du XIV° siècle que le Jeu de Paume acquit sa reconnaissance auprès de la noblesse, des éducateurs et du reste de la population française. Au XVI° siècle, le Jeu de Paume devient même le "Jeu des Rois". François I, Henri II, Charles IX, Henri IV jouent et deviennent des spécialistes. On ne compte plus le nombre de fois où il fallait chercher le roi au Tripot pour régler les affaires politiques.

Le Jeu de Paume se répandit non seulement en France mais aussi dans le reste du monde. Mary Ewing Outerbrige l’importa aux États Unis en 1876 sous le nom de Court tennis . En Australie, on l’appela Royal Tennis ou Real Tennis. Il arriva aussi en Allemagne, en Italie, en Espagne,...Aujourd’hui, il ne reste plus que neuf pays abritant des salles de Jeu de Paume.

Le jeu de Paume débarque aussi en Angleterre au XVI°siècle sous le nom de Court Tennis. (en anglais, le Jeu de Paume se traduit par Court Tennis. A noter que le terme "tennis" vient de "tennetz", mot lancé au moment de la mise en jeu de la balle dans le jeu de Paume). Dans un premier temps, les Anglais jouent au Jeu de Paume avec des raquettes. Mais, vers 1850, les Anglais inventent le jeu de rackets. Ce nouveau jeu se joue à plusieurs contre un mur avec des raquettes et une balle en cuir très rebondissante. Le match se gagne en 15 points. En cas d’égalité à 13, on termine avec trois ou cinq points d’écart. Aux alentour de 1860, le jeu de rackets perdit de sa notoriété.

La véritable histoire du tennis commence le 23 février 1874. Ce jour là, le major Walter Clopton Wingfield fait breveter, à la chambre des métiers de Londres (au bureau de la commission des patentes), un nouveau jeu de Court Paume vendu d’abord sous le nom de Sphairistiké (mot grec signifiant "art de la balle") puis, en 1877, sous le nom de Lawn-Tennis (Jeu de Paume sur gazon, en anglais) plus facile à retenir.

Le Tennis tel qu'on le connaît est né !

(à suivre)

"L'instant vidéo" (par softness)



Bonjour tout le monde,

Aujourd'hui je vous propose une vidéo assez surprenante ... Cela se passe dans les sous-sols asiatiques. Des pousseurs sont spécialement payés pour pousser les gens dans les wagons ...

Et il y a moyen de rester ZEN ?? ben oui... étrangement, personne ne crie, personne ne râle, tout le monde trouve ça normal.

C'est impressionnant ... Après cette vidéo, nous sommes bien content de nos bus/train.

Bonne vidéo !


"Jeux/Quiz" : Sudoku et les 7 erreurs (par titelunat)










"Jeux/Quizz" : Solution du Sudoku de la semaine passée (par titelunat)