Les ZENgnolles

*A invité son petit-fils Riri chez elle et lui a préparé des pâte à la carbonara, mais son but est de l’interviewer pour que vous puissiez mieux le connaître*
N : « Bonjour mon Riri, mets-toi à table, voilà une belle assiette de pâtes. Bon appétit mon Riri »
R : « Merci pour cet accueil mamy Nénenne ! »
*Riri et Nénenne mangent de bon appétit et ensuite gagnent le salon pour papoter un peu*

N : « Alors Riri, dis-moi, on m’a dit que tu avais participé à la nouvelle star ? Et tu chantes ? Et tu écris ? Explique-moi encore un peu tout ça ! »
.R : « Hé bien, tu as été correctement informée.
J'ai effectivement passé le casting Nouvelle Star, mais ce fut un échec. On m'a renvoyé chez moi, à cause de ma timidité. Je chante depuis que je suis petit, et j'écris depuis quelques années. Mes textes parlent en général du monde, des problèmes de l'adolescence; de mes propres problèmes, à cela viennent aussi s'ajouter des textes plus sentimentaux.
La musique prend une grande place dans ma vie. Je crois que sans musique ma vie serait impossible ! »
N : « Si tu me parlais un peu de tes goûts musicaux et de cinéma ? »
R : « je ne suis pas difficile pour la musique. J'écoute tous les genres.
Mais mes préférences vont plus vers le rock, et la variété française et ce que j'écoute le moins c'est le rap.
Pour ce qui est du cinéma, j'aime les films qui racontent des histoires vraies, les films qui nous font découvrir des choses, mais j'aime surtout les films d'horreur ! »
N : « On est arrivés quasi en même temps sur PARANO, toi et moi. Comment l’as-tu découvert toi ? »
R : « Parano, j'en avais entendu parler plusieurs fois. Une amie à moi l’a fréquenté pendant un certain temps. Puis un jour, Lolie m’a invité, et j'ai directement aimé ce site ! »
N : « Et pourquoi as-tu choisi de t’établir sur ZEN ? »
R : « Car au début, je ne savais pas ou aller ! J'ai fait 2 secteurs avant ZEN et l'ambiance je ne la trouvais pas terrible ! Puis je suis arrivé sur ZEN ! Directement, je fus super bien accueilli, de plus j'ai trouvé les RP très chouettes, les sages très sympathiques, ainsi que tous les autres villageois ! »
N : « Il n’y a que 4 mois que tu es sur ZEN et tu as déjà plus 300 RE, tu es très populaire semble-t-il, surtout auprès des demoiselles hein … Comment expliques-tu ce succès mon Riri ? »
R : « * Rougit *
Je ne sais pas d'où vient ce succès ! Je reste moi-même et je n’me la joue pas !
T'être que cela attire les filles ! »
N : « Tu es aussi un petit gars super gentil Riri ! Tu es un loup garou et moi une sorcière … on est beau hein tous les deux ! Pourquoi as-tu choisi ce personnage RP ? »
R : « Car le loup est un animal que j'apprécie !
Et puis le loup garou, me représente bien, car je suis quelqu'un d'assez paisible, il faut beaucoup m'énerver, ou attaquer des gens que j'aime pour que je sois hors de moi. Mais une fois que la goutte déborde du vase... je ne me contrôle plus et cela fait quelquefois beaucoup de dégâts. »
N : « Sur ZEN, tu apprends donc aussi à te contrôler. Tiens, que préfères-tu toi sur ZEN ? »
R : « Les rapports avec les autres citoyens ! Chaque jour je fais de nouvelles connaissances, car ici les gens font tout pour aider les autres à trouver le bonheur ! »

N : « Zen est bien atteint par des phénomènes étranges pour l’instant … objets disparus, statues animées au musée, météorite, bombe dans le puits, perle blanche, fantôme de Siddharta et annonce du retour du Docteur Félon qui a l’air d’effrayer tous les anciens sages … Que penses-tu de tout ça ? Que proposerais-tu pour défendre ZEN ? »
R : « *Se rappelle de chaque aventure et surtout de celle d'hier*
C’est vrai qu’il se passe de plus en plus de choses bizarres !
Je pense que pour le retour du Docteur Félon, les Zenéistes devront encore être plus solidaires et rester toujours par au moins par groupes de dix personnes, car les Troll qui l'accompagne sont super puissants ! Hier moi-même je me suis fait mettre K.O. ! Mais je suis certain que tous ensemble, on arriveras à se défendre ! »
N : « Et maintenant mon Riri que les pâtes sont digérées, si on se mangeait une petite salade de fruits que je t’ai préparée avec amour ? »
R : « J’adore ça et en plus comme c'est fait avec amour ! »
*Tandis que Riri déguste son dessert, Nénenne pense déjà à l’article qu’elle a pu réaliser pour la gazette grâce à cet entretien à bâtons rompus…*

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Par Nénenne-V-ZEN 87011

Ce mardi 5 juin au soir, une nouvelle aventure a captivé des courageux villageois !

Tout commença quand notre schtroumfette Marge arriva nous informer de ce qu'elle avait vu !

« J’étais tranquillement installée sur le ponton du port j’ai vu la houle de la mer changer. Les vagues, énormes, se sont rapprochées.
L’écume était blanche et étincelante ! »

« La plus grosse vague a déposé à mes pieds un coffre avec des consignes claires :

« À vous à qui le coffre sera offert par la marée blanche,
Sachez qu’il renferme une richesse inestimable !
Il ne peut être ouvert que par une équipe soudée et sincère !
Pour trouver la combinaison du coffre, il en faut chercher les chiffres aux 4 points cardinaux de votre village, en commençant par le sud…
Le cinquième, vous le trouverez à la prochaine nuit de pleine lune en regardant vers l’astre blanchâtre. »

Une équipe se forma immédiatement. Celle ci était composée de: Matrix, Izzy, Centaurus, Sylar, Titimousse, Pensive, Nénenne, et Riri. Der Wind et Croll vinrent de temps à autre les soutenir.

Ils se mirent en route directement vers le sud du village, ayant fait confiance aux qualités d’orientation de Matrix et l’ayant choisi comme guide de leur expédition.
Après quelques minutes de marche, ils arrivèrent à une première épreuve qui consistait à résoudre l’énigme que voici :

« - Les clowns sont mes amis
- Je peux être un prénom
- Je décore les fonds marins ou les aquariums
- Je suis une plante
Ma réponse peut se trouver dans l’aquarium chez ZinZin le sage, et la somme des lettres de l'énigme plus le deuxième chiffre de son âge est ce qu'il vous faut. »

Tous commencèrent à réfléchir ! Plusieurs mots furent proposés, plusieurs bêtises aussi !
Mais Sylar proposa enfin le mot «anémone» et tous les autres trouvèrent que ce mot était sans doute le bon !
Restait encore à résoudre un calcul !
Et là... catastrophe, on constata que la plupart des membres de l’équipe étaient quasi nuls en math !
Heureusement, nous avions une institutrice avec nous notre chère Pensive qui trouva la réponse : 7.

Après un petit vote, les villageois partirent en direction de la grotte qui se trouve à l'est du village.
Une autre énigme les attentait :

« Comptez le nombre de fois où le dessin d’hippocampe revient dans cette grotte.
Ensuite, comptez le nombre de lettres qui composent ce nombre.
Puis déduisez-le du premier nombre obtenu.
Multipliez le tout par le premier nombre et ajoutez-y le nombre de personnes présentes.

Après qu'ils eurent compté les hippocampes, y compris ceux cachés dans le fond de la grotte, où ils furent attaqués par une nuée de chauves-souris, ils durent se remettre au calcul !
Une fois de plus Pensive trouva la réponse, mais elle ne fut plus la seule. Titimousse la trouva aussi.
Et le chiffre final du calcul fut le 3.
Ils se dirigèrent alors vers le nord pour résoudre l’énigme de la forêt :
« Un soir, alors que tous les Zenéistes étaient endormis, un météorite s’est dirigé tout droit sur le village. Heureusement, l’atmosphère de bonheur entourant le village désintégra cet astre mort. Aujourd’hui, persiste dans la forêt un morceau de la taille d’un caillou.
Il ne sera pas aisé de le retrouver dans la forêt ! Un indice est donc de rigueur : ce morceau de roche a besoin d’eau pour ne pas se désintégrer.
(le chiffre est sur ce bout d’astre) »
Ils cherchèrent un point d’eau dans la forêt, mais en chemin, ils perdirent Riri qui s'enfuit à toute vitesse.
A destination, ils virent en plein milieu de l’eau un drôle de petit rocher.
Seul problème, comment y arriver, alors que plein de crocodiles qui avaient été dérangés nageaient vers eux d’un air menaçant ? Ils se mirent donc à réfléchir… Ils pensaient utiliser le balai volant de Nénenne quand soudain Riri réapparut... mais un peu transformé ! En soir de pleine lune, il était devenu à nouveau un loup garou ! Ceci arrangeait bien les choses ! Car les crocos, pris de peur en voyant Riri descendre dans l'eau, reculèrent, ce qui permit à l’équipe de traverser jusqu’à la pierre pour y découvrir le chiffre 0.

Enfin nos héros partirent en direction du nord jusqu’au lac et y découvrirent l’épreuve :
« Au fond du lac se cache un animal très peureux. Tellement peureux qu’il se cache dans les profondeurs afin qu’on ne vienne pas l’effrayer.
Actuellement, il souffre énormément … Une dent douloureuse l’empêche de se nourrir »
C’’est Izzy, l’infirmière du groupe, qui se dévoua pour plonger, apprivoiser et soigner l’animal en lui arrachant la dent malade. Sur celle-ci, elle découvrit le chiffre 1 !
Nos aventuriers étaient tout heureux, mais de retour au ponton, près du coffre, une dernière épreuve des plus dangereuses les attendait :
« Vous faites face à la lune pleine. Vous la fixez.
Soudain, une sirène s’approche de vous et vous chante ces mots doux...
Le dernier chiffre tu trouveras,
Dans l’antre de mon cher papa,
Sur la nageoire d’un de ses fidèles gardes,
Les requins sympathiques,
Qui n’attaquent jamais,
Que si vous les approchez à moins d’une mètre. »

Les courageux héros, exténués mais soudés dans l’effort, durent plonger dans le lac et affronter les requins qui les attaquaient. Mais Nénenne parvint à les tenir à distance de plus d’un mètre avec son balai pour permettre à Sylar et Riri de découvrir le chiffre 2 sur l’aileron d’un des monstres.
Une fois remontés à la surface, ils se mirent tous autour du coffre et tournèrent chacun à leur tour les mollettes pour l’ouvrir :

Nénenne pour la molette 1 avec le 7
Sylar la molette 2 avec le 3
Matrix la molette 3 avec le 0
Riri la molette 4 avec le 1
et finalement Izzy la molette 5 avec le 2

Et d'un coup, le coffre s'ouvrit, laissant apparaître une belle perle scintillante avec également un petit mot :

« Cette perle a des vertus que vous ne soupçonnez même pas. Prochainement, vous découvrirez comment et pourquoi elle pourrait vous être utile.
En attendant, gardez-la précieusement car, la convoitise d’un tel objet, cadeau de la marée blanche, pourrait rapidement naître ! »
Les cinq aventuriers décidèrent alors de la mettre en sécurité au musée sans et rentrèrent chez eux en faisant le moins de bruit possible afin de ne pas déranger tous les villageois qui dormaient déjà paisiblement.
Ils gagnèrent leur lit, fatigués mais conscients et fiers d’avoir affronté et vaincu le danger en équipe.

Voilà comment s’est terminée l’aventure, mais tous savent qu'ils n’ont pas fini d'entendre parler de la perle dont ils sont maintenant les gardes !

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Par riri-V-ZEN 87526

La suite ....
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Je commence à avoir peur de tout ce qui m’entoure et surtout, de tous ceux qui sont là, en train de me juger. Ça tourne en réelles crises de panique. Je me retrouve un instant cachée dans le plus petit coin de ma garde-robe. Je voudrais mourir. Je n’ai plus le cœur à aller étudier sur les bancs de cette école où tellement de gens « normaux » s’entassent pour faire quelque chose de leur « avenir ». Moi, je m’en balance de mon avenir. La seule chose que je sais de celui-ci, c’est que je créerai un centre de cynothérapie pour personnes souffrant d’un handicap mental léger. Ce centre sera tout petit, très chaleureux, très rassurant, il fera bon y vivre avant de prendre son envol vers la vie autonome.
Je ne veux plus aller à l’école. Éducatrice spécialisée, ce n'est pas vraiment ce que je veux faire. Je ne sais pas ce que je veux mais, je sais ce que je ne veux pas. Ça me mènera peut-être quelque part de savoir ça. Peu importe, je veux disparaître. Je voudrais être le plus loin possible de ma souffrance. Mais je ne peux pas car, ma souffrance, c’est moi. C’est ma création et elle est en moi. C’est à moi de la gérer et c’est à moi de la tuer. Donc, si m’a souffrance est moi, je n’ai plus qu’à me tuer !
Je vais toujours sonner à cette femme dont me parle mon oncle, elle pourra peut-être m’aider. Oui, en fait, c’est ça, je n’ai pas besoin qu’on me sorte de là. Ce dont j’ai besoin, c’est qu’on m’aide à me sortir de là. Je vais donc lui sonner et on verra. De toute façon, je n’ai pas vraiment d’avenir comme ça alors, autant se donner encore une chance.

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Par marge-B-ZEN 10327

L’enfance tumultueuse de Simone

Mais qui est Simone ? Cette question paraît bien simple, pourtant je me permets de la reformuler : mais qui est Simone au-delà de cette gentille masseuse connue du secteur ZEN pour divertir les citoyens de ses doigts de fée ? En voilà une question que personne ne s’était jamais posée ! Et puisqu’il faut savoir parfois anticiper les questions, voici mon enquête sur ce sujet sulfureux qu’est…l’enfance tumultueuse de Simone.

Simone n’avait jamais été destinée à être célèbre. Eh non. Cela arrive. Même chez des gens bien. Simone se prit de passion pour l’art de la boulangerie dès l’âge de 8 ans, lorsque ses parents trouvèrent approprié qu’elle apprenne l’art familial. Simone était pourtant d’un caractère enjoué et sociable, et cela lui déplaisait beaucoup de devoir passer ses journées derrière un fourneau à pétrir la pâte. Quelle chaleur épouvantable, devant les fourneaux ! Elle jalousait secrètement sa tante, qui elle possédait le droit de bavarder avec les clients, tout en tenant la caisse. Sa tante, qui par ailleurs, l’obligeait à suivre des études d’herboristerie car il s’agissait là aussi d’une vieille tradition familiale. Quel fardeau sur les frêles épaules de la petite Simone !

Le matin, elle se levait tôt pour apprendre à pétrir la pâte comme son papa lui apprenait, en évitant de se brûler les doigts et en malaxant la pâte jusqu’à ce qu’elle devienne quelque chose de malléable, d’agréable à modeler…Le soir, elle devait parfois veiller tard pour apprendre le nom des herbes et plantes médicinales qu’elle était tenue de connaître sur le bout des doigts, sans quoi sa tante la privait de tarte à la rhubarbe (et Dieu sait qu’elle aimait ça, les tartes à la rhubarbe, plutôt que les tantes barbantes).

La tante de Simone, Sylvette, avait été dans sa jeunesse une femme rousse d’une incroyable sensualité, et l’on racontait qu’elle avait été à l’origine du succès de l’enseigne familiale, qui osa même rebaptiser la boutique « Aux plaisirs de Sylvette ». Hélas, à son grand dam, elle s’était flétrie comme une fragile rose trémière devant l’automne. On la complimentait certes encore sur sa vivacité, cette gaieté si spontanée qui la caractérisait, mais elle savait fort bien que l’heure de la retraite sonnerait bientôt pour elle.

Un jour, enfin, arriva l’heure de la vengeance pour Simone. C’était un jour ensoleillé où les clients se précipitaient très tôt le matin pour venir chercher baguettes, pâtisseries et petites sucreries. La tante de Simone était comme à son habitude enjouée et bavarde tandis que Simone travaillait durement la pâte de ses mains habiles. Sauf que voilà. Simone n’était plus une enfant. Oui, son enfance tumultueuse était enfin derrière elle. A présent, elle était devenue une bien jolie jeune femme qui attirait bien des regards…Un client habituel avait remarqué que Simone n’était pas à sa place devant ces fourneaux brûlants où l’on étouffait du manque d’oxygène :
-C’est qu’elle est devenue bien jolie, votre nièce, la mamzelle Simone. Tellement jolie qu’on se demande pourquoi ce n’est pas plutôt elle qui tient la caisse, ça nous ferait plaisir de voir une jolie fille avant de partir au boulot, le matin.

La tante de Simone devint verte de jalousie et prétexta une syncope pour ne pas perdre la face…Simone se précipita pour tenter de ranimer sa tante puis laissa tomber en voyant qu’elle simulait… Sauf qu’elle n’avait pas oublié les interminables et affreuses leçons sur les plantes médicinales. Elle savait que la carotte était synonyme de vitalité, qu’un peu de marguerite était idéale pour un bon teint, ou encore que la salsepareille décuplait les forces…Alors, elle courut à la maison et prit un flacon d’huile essentielle de marguerite, et se mit à masser sa tante dans l’espoir que celle-ci s’avoue vaincue. Ce massage était si agréable, si bon, que la tante ne pouvait simuler plus longtemps sa syncope et fut bien obligée d’admettre que la petite Simone était devenue experte de ses dix doigts…Simone, une étoile est née.

C’est le jour où tout a basculé pour Simone. Simone : BOT de génération en génération, habile, sensuelle, aime les pains aux raisins tout en sirotant un chocolat chaud, future habitante du village ZEN, préfère dire bonjour avant de demander le prix de ses prestations, personnalité simple, grande mémoire, apprend vite. Simone, pour vous

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Par Izzy-V-ZEN 60560

Chers amis demandeurs d’emploi et intérimaires,

L’heure est grave, nous, belges, avons besoin de vous !

Je m’explique :

Que vous soyez suisse, français, allemand, belge ou autre … vous avez sûrement déjà entendu parler des « Diables rouges », équipe nationale de football en Belgique.
Si vous ne connaissez pas, c’est normal, ne vous inquiétez pas … C’est certainement parce qu’ils sont super super super … incompétents !

Nous pourrions alors prendre leur défense en disant que c’est la faute du coach, du préparateur physique ou encore du sélectionneur national. Mais … Peut-être qu’eux aussi jouent dans la cours de l’incompétence !

Ou alors, cela pourrait être la faute du gardien qui ressemble à une passoire ? !

Allons, allons … cessons donc de chercher une cause précise.

Le Diables sont des limaces absolument pas qualifiées pour gagner tous ces beaux millions (déclarés, bien entendu) en jouant au football… au mieux, ils peuvent aérer votre pelouse en quelques enjambées (s’ils ne trébuchent pas bêtement en se tordant la cheville) !

Dès lors, mon compagnon a eu une idée de génie… Que dis-je ?! Une illumination qui permettrait à une trentaine de personnes de trouver un emploi à la hauteur de leur qualification : Diable rouge !

Contrat à duré déterminé : une saison sportive
Retraite assurée : à 20 ans, vous êtes bon pour le foot/bière/canapé.
Offre ouverte dès 16 ans : ben oui, s’il n’y a pas assez de joueurs, on fera une équipe d’espoirs !

Devenez, du jour au lendemain, l’ambassadeur du petit pays (pas) plat !

Nous, nous disons non aux limaces belges, qui n’ont d’ailleurs pas tous une tête de belge, et oui à la mise à l’emploi !

Si toutefois vous avez déjà un emploi et que vous êtes l’heureux propriétaire d’une belle parcelle de terre, vous pouvez toujours faire appel à nos jeunes retraités ou à nos joueurs actuels car, ils sont déjà en vacances (que de beaux matchs contre les portugais et les finlandais) !

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Par marge-B-ZEN 10327

Bonjour ZENéistes !

Comme tous les samedis, je vous retrouve pour vous proposer les films qui sont à l'affiche cette semaine !

Dans un premier temps, un film très sympa c'est "Dialogue avec mon jardinier", avec Daniel Auteuil et Jean-Pierre Darroussin. Une très belle histoire d'amitié à ne pas louper Smile

Synopsis du film : Ayant acquis une honnête réputation de peintre parisien, un quinquagénaire fait retour aux sources et revient dans le centre de la France profonde prendre possession de la maison de sa jeunesse. Autour de la bâtisse s'étend un assez grand terrain qu'il n'aura ni le goût, ni le talent d'entretenir. Aussi fait-il appel à candidature, par voie d'annonce locale. Le premier candidat (qui sera le bon) est un ancien complice de la communale, perdu de vue et ainsi miraculeusement retrouvé. Il sera le jardinier. Le côtoyant au long des jours, le peintre découvre par touches impressionnistes un homme qui d'abord l'intrigue puis l'émerveille par la franchise et la simplicité de son regard sur le monde...

Dans un registre complètement différent..."Boulevard de la mort", un film Grind House réalisé par Quentin Tarantino avec le très talentueux Kurt Russell qui joue extrêmement bien dans ce film ainsi que la très belle Rose McGowan. Un film de peur qui vous laissera scotché au siège...

Synopsis du film : C'est à la tombée du jour que Jungle Julia, la DJ la plus sexy d'Austin, peut enfin se
détendre avec ses meilleures copines, Shanna et Arlene. Ce TRIO INFERNAL, qui vit la nuit, attire les
regards dans tous les bars et dancings du Texas. Mais l'attention dont ces trois jeunes femmes sont l'objet n'est pas forcément innocente. C'est ainsi que Mike, cascadeur au visage balafré et inquiétant, est sur leurs traces, tapi dans sa voiture indestructible. Tandis que Julia et ses copines sirotent leurs bières, Mike fait vrombir le moteur de son bolide menacant...

Pour finir ma sélection, je vous conseil "Coeurs perdus" avec le grand John Travolta et la magnifique Salma Hayek. Ce drame policier vous séduira par son ambiance très "noir" Smile

P'ti clin d'oeil pour le décor et le scénario qui sont vraiment très bons !

Synopsis du film : A la fin des années 40, un couple aussi séduisant que mortel sème la panique dans tous les Etats-Unis. Leur mode opératoire est toujours le même : Ray séduit de jeunes femmes isolées et les dépouille, puis avec le soutien actif de Martha, les tue. L'inspecteur Elmer C. Robinson se lance à leurs trousses, et cette affaire change définitivement sa vie.

Je vous souhaite évidement une très bonne séance, à la semaine prochaine !
N'oubliez pas les Pop-Corn !

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Par misty-V-ZEN 86121

La citation de la semaine

Ce n'est pas le but qui compte, c'est le chemin.[Valérie Guignabodet] Extrait du film Danse avec lui

Oh oui! De plus en plus, les gens ne se posent plus de question quant à la manière qu'ils utilisent pour arriver à leur but! Quel en est le prix? Ecraser les autres, coucher pour réussir, payer des sommes astronomiques, la prostitution ....? Tant de chemins peu reluisants pour peut-être parvenir à un but médiocre!

Et si on raisonnait autrement. On peut ramer beaucoup, presque toute une vie, pour un jour s'apercevoir que notre but est atteint et en tirer une pleine satisfaction et une paix intérieur. N'est ce pas là une façon plus valorisante de parvenir à son objectif? Parce qu'au moins, vous ne vous êtes pas sali et que peut-être, vous avez même pris le temps d'aider autrui avant d'en arriver là.

Aidez-vous les uns les autres à atteindre vos buts respectifs!

N'oubliez pas de m'envoyer vos propositions de citation à mettre à l'honneur!

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Par marge-B-ZEN 10327

Vu le succes qu'on eu mes super COOKIES il y à quelques mois, je remets la recette dans la gazette pour que ceux qui n'aurait pas eu l'occasion d'enprofiter, le fassent maintenant.

SUPER COOKIES

Pour environ 32 COOKIES
Préparation 15 min
Cuisson : 10 min. par tournée

INGREDIENTS

- 75g de "Callets" (pépites de chocolat)
- 50g de cerneaux de noix
- 25g de raisins secs
- 175g de farine fermentante
- 125g de beurre bien mou
- 1 oeuf
- 125g de cassonade de candi blonde (candico)
- une pincée de sel
- une pincée de cannelle et de noix de muscade (facultatif)

PREPARATION

- Faites tremper les raisins secs dans un bol d'eau chaude
- Travailler le beurre au fouet avec la cassonade, puis joignez l'oeuf, le sel, les épices et la farine; mélangez avec une cuiller en bois
- Ajoutez les Callets, ainsi que les noix grossièrement hachées et les raisins égouttés; mélangez bien
- Sur la plaque du four recouverte de papier sulfurisé, et à l'aide de deux petites cuillers, déposez des petits tas de pâte bien espacés, de la valeur d'une petite noix, sans vous inquiêter de leur forme; la pâte s'étale tellement lors la cuisson que les cookies deviennent automatiquement ronds et plats
- Faites cuire 10 min. environ à four chaud (préchauffé sur th.6 - 180°), attendez 1 min., puis à l'aide d'une spatule, déposez les cookies sur une grille à pâtisserie pour les laisser refroidir complètement
- Si par miracle il vous en reste, rangez-les dans une boîte hermétique. Vous trouverez les "Callets" (Jacques/Callebaut) au rayon des chocolats fondants pour dessert

Bon appétit

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Par butterfly-O-ZEN 91508

Jeu de la dictée

Découvrez les trois fautes d’orthographe qui se sont faufilées dans cet extrait !

Akira Kumo est content de son employée. Elle n'a posé aucune question sur le Japon. Ni sur la haute couture. Ni sur la haute couture au Japon. Ni sur son passé au Japon. Quand on lui pose une question sur sa jeunesse au Japon, Akira Kumo observe généralement un silence poli. Pour ne pas répondre à de telles questions il s'est construi (1), avec le temps, une pantomime (2) aussi simple qu'efficace : le regard franchement planté dans celui de son interlocuteur, il feint (3) d'entrouvrir la bouche pour répondre, brusquement la referme sans avoir prononcé un mot. Akira Kumo ne pense plus jamais au Japon ; en revanche une question dérisoire, ridiculement obsédente (4), se présente trop fréquemment à son esprit : pourquoi s'est-il un jour pris de passion pour les nuages ? Il ne sait pas. Son métier de couturrier (5) lui a d'ailleurs appris qu'il valait mieux, souvent, ne pas analyser les choses, et les laisser travailler dans l'ombre. Mais parfois il sent que la réponse à cette question-là l'attend, tapie comme une bête inconnue dans la jungle opaque de sa mémoire ; alors Akira Kumo tremble qu'elle ne bondisse et ne vienne (6) l'anéantir, d'un seul coup.

Vous les avez trouvé ? Ne perdez pas de temps et communiquez vos réponses à Julinou 43509 !

Les bonnes réponses et les gagnants au concours seront diffusés dans la prochaine gazette !

Extrait de : « La théorie des nuages » de Stéphane Audeguy, publié chez Folio (édition 2007)

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Par Julinou-V-ZEN 43509

Les ZENgnolles

09 juin 2007

Edito 134 - Zengnolles du 09 juin 2007

134.1 - Interview de riri par Nénenne

134.2 - Compte-rendu d'un RP par riri

134.3 - Histoire d'une jeune femme chapître 2 par marge

134.4 - L'enfance tumultueuse de Simone par Izzy

134.5 - La petite (fausse) annonce par marge

134.6 - Chronique sortie ciné par misty

134.7 - La citation de la semaine par marge

134.8 - Recette par butterfly

134.9 - Concours Jeu de la dictée par Julinou

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