16 novembre 2007

L'édito par marge


Chers Zenéistes!


BONJOUR!!!!


Nous sommes samedi. Oui, déjà! Et le samedi, c'est le jour de notre gazette adorée!


Cette semaine, l'art a touché ZEN et quelques rédacteurs!

Voilà que nous pourrons donc découvrir l'art de prendre l'air, celui de chanter, de slamer, d'écrire, de dessiner, de cuisiner, de rigoler, ....
Bref, que du bon pour nos petits yeux sortant de l'ombre!


Bonne lecture à tous!


N'oubliez pas que j'attends vos articles avant vendredi midi en long courrier pour le prochain numéro!

Chanter où l'art de jouer avec sa voix par Muse



"Chanter...pour oublier ses peines, pour bercer un enfant, chanter, pour pouvoir dire je t'aime...chanter tout le temps..."
F. Pagny


Chanter est quelque chose de profondément naturel, que l'on fait très souvent dans des lieux parfois insolites comme la douche, la voiture, devant son écran PC. Certaines personnes ont trouvé dans cet art un moyen d'expression, de partage, de faire de la musique et ont décidé d'en faire leur métier. J'ai fait partie de ces gens-là pendant de nombreuses années, j'ai appris mon métier même si je ne l'exerce plus et qu'il s'est éloigné de moi. A moins que ce soit moi qui lui ait tourné le dos. Peu importe !

A l'heure de Star Académy, de la Nouvelle Star, de PopStars et de toutes ces émissions qui donnent l'impression que le chant est à la portée de n'importe qui, du premier venu, en peu de temps, je me dois de respecter cet art et de remettre les pendules à l'heure. Chanter c'est faire de la musique avec son corps (si, si, vous avez bien lu, ce n'est pas une coquille), ses cordes vocales et son coeur. On entend donc par là de savoir comment produire un son juste, avec quelle partie de son corps et dans quel but. Ca implique pour les vrais professionnels de connaître leur corps parfaitement, d'en respecter l'équilibre, de savoir user de ses cordes vocales avec parcimonie (la voix chantée est un capital, pas quelque chose d'éternel), de réussir à toucher du doigt ce qu'ils ont envie de dire aux autres, d'arriver à ne pas le garder que pour soi.
En traitres mots, c'est beaucoup, beaucoup de travail pendant de longues années.

Chanter ou vouloir le faire a un prix. Il faut refuser tout abus : nourriture, alcool, tabac, drogues, sommeil. L'équilibre et la santé sont très importants pour que le corps soit en bonne forme. Il faut également s'astreindre à psalmodier des "mia-l-amn" sur un octave puis le redescendre et ça au moins une fois tous les deux jours. Il faut sans cesse protéger sa gorge des attaques extérieures : bactéries, virus, cris, froid... Il faut accepter de se livrer presque nu(e) sur une scène afin de faire passer une émotion, d'être vrai. Ouvrir son coeur, enlever les barricades, refouler les larmes. Il faut passer du temps à écouter de la musique, à reconnaître les sons. En général, on pratique aussi un instrument ou le solfège, la danse, le théâtre ou l'expression scénique. Chanter demande des sacrifices, rien que dans le fait de vouloir produire un son, inutile de parler des sacrifices financiers qui vont avec...

En espérant que ce petit aperçu non exhaustif, vous montrera que le labeur est le lot des artistes chanteurs.

Clochette se met aux fourneaux!


Cannoli


Ingrédients pour la recette de Cannoli :

Cannoli
30 g de beurre
1 blanc d’œuf
50 g de sucre en poudre
30 g de farine
1 cuillerée à café de cacao amer en poudre

Garniture
100 g de ricotta
1 cuillerée à soupe de sucre en poudre
25 g de chocolat riche en cacao
25 g de pistaches mondées
½ citron non traité
½ cuillerée à café d’essence de vanille
1 pincée de cannelle en poudre

Décor
sucre glace
cacao amer


Préparation de la recette de Cannoli :

1 - Chemiser une plaque de cuisson de papier sulfurisé.
2 - A défaut de moules cylindriques spéciaux, entourer les manches de 4 grosses cuillères en bois de 1,5 à 2 centimètres de diamètre avec une feuille d’aluminium (ou utiliser des baguettes en bois ou encore des tiges de bambou).
3 - Préchauffer le four (thermostat 6 – 180°C).
4 - Dans une petite casserole, faire chauffer le beurre, juste pour le faire fondre et le clarifier en l’écumant.
5 - Battre le blanc d’œuf en neige dans un saladier en ajoutant le sucre à la fin. Continuer à battre jusqu’à ce que l’appareil soit ferme et brillant.
6 - Tamiser la farine avec le cacao sur le blanc d’oeuf en neige et mélanger en soulevant délicatement.
7 - Faire couler le beurre fondu en filet le long de la paroi du saladier, puis mélanger.
8 - Prélever le huitième de cette pâte, environ une cuillerée à soupe, la déposer sur la plaque et préparer ainsi 3 autres tas semblables bien séparés.
9 - Étaler les tas en disques fins d’au moins 10 centimètres de diamètre.
10 - Enfourner à mi-hauteur et faire cuire 7 à 8 minutes : la pâte est encore souple, mais ne colle pas.
11 - Au sortir du four, décoller les biscuits et les enrouler autour des supports préparés. Refermer les disques autour des cylindres pour former des tubes, sans serrer. Laisser en place quelques minutes, puis dégager les supports. Laisser refroidir complètement les cannoli sur une grille. Faire une deuxième fournée de 4 disques de pâte.
12 - Préparer la garniture : prélever le zeste du demi-citron, le blanchir à l’eau bouillante, 5 minutes environ, l’égoutter, le sécher et le ciseler finement.
13 - Faire griller les pistaches 3 minutes sur la plaque du four et les concasser grossièrement avec un couteau.
14 - Mettre la ricotta dans un saladier, ajouter le sucre et bien mélanger.
15 - Râper le chocolat au-dessus du mélange, ajouter les pistaches, le zeste haché du citron, l’essence de vanille et la cannelle, puis mélanger soigneusement.
16 - A l’aide d’une poche à douille à embout lisse (ou d’une cuillère à moka), fourrer les cannoli avec la préparation à la ricotta.
17 - Dresser sur un plat de service et saupoudrer de sucre glace et de cacao tamisés.
Le petit plus : on peut ajouter des fruits confits coupés en dés à la garniture.


En visu, ça donne ça : http://www.mondodelgusto.it/wp-content/uploads/2007/07/cannoli.JPG

Quand deux arts se rencontrent par marge


Imaginez ...

Un jour, une jeune poétesse entre dans un café. Elle commande une boisson. Elle regarde les gens déambuler autour d'elle. Ils l'inspirent. D'eux, elle tire la tristesse, l'innocence, la joie, la colère ... D'eux, elle donne vie à ses écrits.
L'art de manier les mots, de leur offrir un sens étrange, l'anime et l'émeut même parfois!
Ecrire la soulage ... la prose libère son coeur et les vers le remplissent de légèreté.
Et puis, alors qu'elle est plongée dans ses pensées, elle se retrouve attablée avec un jeune homme. Un grand gaillard au coup de crayon magique!
Alors qu'elle avait passé sa vie à donner vie aux lettres, lui, donnait vie aux couleurs, aux traits ... De ses dessins, l'émerveillement sointait!
Sous le charme des courbes couchées sur le papier, la jeune femme à la plume voulu partager l'art de donner vie!
Dans ses rêves, à deux, ils pourraient offrir la vie à des histoires sans pareil!
Mais le temps fait que l'art reste parfois incompris ... Etl'émerveillement du début amène à la frustation des jours présents sans laissé présager le bonheur du futur.
Mais la poétesse continue à attendre la bonne occasion de mettre sur papier ses mots et de les accoupler à aux dessins du jeune à l'imagination débordante!

Le moment drôle par Cephi

Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses oeuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art.
Le responsable des lieux lui explique sans détour:
-En fait, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La bonne nouvelle, c'est qu'un investisseur est venu l'autre jour pour une évaluation globale des oeuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
- Et que lui avez-vous répondu ?, interroge le peintre.
- Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos oeuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
- Excellent !, réagit le peintre. Et la mauvaise nouvelle alors ?
Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant:
- Hé bien, c'est que cet acheteur, c'est votre médecin généraliste !


Un casse-pieds demande à un peintre:
- Pourquoi ne peignez-vous que des paysages ?
- Parce que jamais un arbre n'est venu me dire qu'il n'était pas ressemblant !

Saga c'est bon pour le moral par Vk[a]ro


De l'air, de l'air, que dis-je de l'art !!!

Comment ça "l'art c'est barbant et les musées sont poussiéreux et ça coûte cher" ? halte aux idées reçues ! Puisque notre gazette est dédiée à l'art cette semaine, je vous propose un petit tour d'horizon de plans sympas pour vous remonter le moral. L'art c'est bien, mais quand ça ne ruine pas le porte-monnaie c'est mieux !

Côté musées : la plupart proposent des tarifs étudiants et pour quelques euros vous pourrez admirer des tas d'oeuvres insoupçonnées ! Pour les heureux qui vivent en France les musées sont tous gratuits chaque premier dimanche du mois ! C'est tout de même mieux de mettre le nez dehors et de se cultiver que d'envisager la solution canapé pantouffles pop corn non? Et puis en plus dans les musées on fait parfois de belles rencontres ! Avis aux amateurs !

Pour nos amis belges, j'ai trouvé une longue liste avec des musées insolites (sisi il y a un musée de la lessive à Spa, un musée des transports en communs à Liège, un musée des papillons à Liège également, un musée national du Papier et le musée du Cwarmê (carnaval) à Malmedy) et si vous êtes en manque d'idées c'est ici http://www.liege.biz/Pays-de-Liege-type~T~MUSEE.htm

Bon je ne vous cache pas que j'ai repéré un MUSEE DU CHOCOLAT !!!! à Eupen en Belgique : vous y apprendrez l'histoire du chocolat, vous y verrez des porcelaines, gravures, anciennes machines pour la fabrication... et en plus la visite de l'usine et de son hall de production sont comprises ! La dégustation doit être de la partie également, et vus ses bénéfices sur la santé (cf dernier article de la sage c'est bon pour le moral) je vous conseille d'y courrir !
Prix de la visite ? deux euros pour les plus de 13 ans, vous n'aurez même pas besoin de trafiquer votre carte d'identité pour éviter de vous ruiner !

Mais l'art ne se limite pas à ça ! Pensez à tous les spectacles, concerts et films qui sont donnés un peu partout ! Et si malgré tout ça on n'arrive toujours pas à vous faire mettre le nez dehors et à comprendre que "c'est bon pour le moral", alors il vous reste la pâte à modeler ! Au moins ce sera déjà un début

;)

Les potins de la semaine par marge

Comme notre chère Vitale s'implique à fond dans ses études et que nous nous devons de la soutenir, cette semaine, j'ai repris les potins afin de la soulager et de lui permettre de se concentrer sur la communication ...



- Quand Pi_R_X parle de placard et d'hommes qui courent tout nu avec Stephy, vous pensez à quoi vous? Quand on pense que c'est un RE tout public! Mettez quand même les enfants au lit, on ne sait jamais!

- Il parait que Benji, ancien grand sage de ZEN, aurait perdu la tête car marge ne l'aurait pas salué! Pire encore, il serait prêt à fêter Pâques prochainnement! Une histoire de cloche ou d'oeufs? à voir sur sa prochaine cover!

- Muse, elle aime les bonbons à la menthe ... si vous allez lire ses RE vous découvrirez que c'est un message codé! si si ... Je me demande ce qu'est une balançoire pour elle :o

- Il parait que vk[a]ro aurait siroté Coca et sans modération! Vous voulez vraiment savoir ce que ce message cache? Moi aussi! :)

- Terryboga, c'est un enfant resté fan des années 80 qui joue, joue, joue ... Une info croustillante pour le faire rêver? Parlez lui des Maîtres de l'univers et du super tigre de Musclor! Il en sera tout ému!

- D'où vient l'expression "avoir la tête dans le cul"? Réponse dans la galerie de Coca!

- Entre nos deux sages: Cephi et SPROTCH c'est toute une histoire de cadeau en forme de camion poubelle! Le début d'une idyle?

- Il parait que Clochette fait de délicieux deserts ... Tous chez elle! Qui a parlé d'invitation???

La recette de la semaine par Butterfly


GOUJONNETTES DE PORC TANDOORI
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Pour 4 personnes
Préparation 30min
Cuisson 20min
2h de repos

Ingrédients
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- 2 escalopes de porc
- Le jus d'un citron vert
- 3c à s de tandoori en poudre
- 125g de farine
- 2 oeufs
- 12,5cl de bière blonde
- 2c à s d'huile d'olive
- Huile de friture
- Sel et poivre

Préparation
------------------
1. Coupez les escalopes en bouchées
2. Dans un plat, mélangez le jus de citron vert, 2c à s de tandoori, sel et poivre. Ajoutez la viande, mélangez et laissez mariner, 2h au frigo.
3. Dans un saladier, mélangez la farine, le reste de tandoori et du sel. Fouettez les oeufs et la bière dans un bol puis versez, en filet, sur la farine en mélangeant avec une cuiller en bois jusqu'à obtention d'une pâte lisse. Incorporez l'huile d'olive et laissez reposer, 1h à température ambiante.
4. Faites chauffer la friture à 180°C.
5. Epongez les morceaux de viandes, trempez-les, 1 par 1, dans la pâte et faites-les frire, par petites quantités, 4 ou 5min, dans la friteuse en les retournant 2 ou 3 fois.
6. Epongez sur du papier absorbant et servez très chaud.

"La claque verbale ..." par 100pseudo


"J'crois que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard …"

Vous avez peut être déjà entendu cet extrait venant du texte "Les voyages en train" par grand corps malade ! Si oui, alors vous avez sans doute compris qu’aujourd’hui, je vous parlerai de slam !

Le slam est un art d'expression populaire oral et déclamatoire, il s’est développé fin du siècle dernier en Amérique (à Chicago) et s’est propagé en Europe dans les années 90.

Le slam se pratique dans des lieux publics comme les bars ou d'autres lieux associatifs. L'entrée est le plus souvent libre ou à prix minime. La plupart des scènes sont des scènes ouvertes ce qui veux dire que tout le monde peut y participer !

Le mot slam désigne en argot américain "la claque/l'impact", terme emprunté à l’expression "to slam a door" qui veut dire "claquer une porte". Le but de ces textes émouvoir les gens, les secouer [de se prendre une "la claque verbale" en quelque sorte ^_^]

pour plus d'infos :
http://www.grandcorpsmalade.com/
http://www.slameur.com/index3.html

La citation de la semaine par marge




"L'art de lire, c'est l'art de penser avec un peu d'aide". [Emile Faguet]


Il suffit parfois d'un peu d'imagination pour se réveiller artiste? vous ne pensez pas? Il suffit de quelques lignes pour nous inspirer les plus beaux rêves ...

Cuisine d'ici et d'ailleurs par Homer

LE CANARD A LA VANILLE

Coucou chers ami(e)s, je suis de retour et j’ai avec moi quelques recettes qui me permettront chaque semaine, de vous faire partager ma passion pour les mélanges de saveur et qui vous feront voyager à l’autre bout du monde en une bouchée.

Pour commencer notre voyage gustatif, je vous propose la recette du canard à la vanille.

Ingrédients (pour 4 personnes) :

- 2 beaux magrets
- 1 gros oignon
- 1/2 cuil à café de vanille en poudre (ou 1 gousse fendue et raclée)
- 1 cuillère à café de concentré de tomate
- 1 cuillère à café bombée de sucre
- 1 cuillère à soupe rase de farine
- 2 cuillère à soupe de rhum blanc
- sel

Préparation :

Dans une casserole à fond épais, faire revenir les magrets côté peau en premier sans matière grasse.
Jeter la graisse rendue par la viande. Rajouter l'oignon émincé et laisser fondre.
Ajouter la vanille, le sucre, le rhum et flamber.
Singer avec la farine, le concentré de tomate, un petit verre d'eau et saler.
Bien mélanger et laisser juste reprendre l'ébullition pour des magrets saignants (un peu plus suivant les goûts de cuisson).
Servir immédiatement avec du riz blanc à la créole.

Bonne appétit et à la semaine prochaine."

Correction de la grille de Nénenne


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Horizontalement : 1. Modification chimique de proximité 2. A la vapeur 3. Mike Tyson en a disputé quelques-uns ! 4. On l’est souvent de soi-même – Ancienne monnaie française 5. Immerges – Rigolé 6. Fleuve irlandais – Habitant littéraire 7. Essai – Ventila

Verticalement : A. A écrit « Mort à crédit » B. Astate – Décédée C. Abats du travail D. Confessées E. Vieux loup – A toi F. Pièces japonaises G. Roupiller H. Eponger

Le récit d'une jeune femme par marge (la suite)

J’écris aux différents organismes qui s’occupent de logements sociaux, je me renseigne auprès du CPAS de ma ville, je m’inscris dans les foyers. Aussi, François m’emmène voir un de ses copains qui est assistant social. La rencontre se passe bien et cette personne va m’aider. Il va adresser un courrier au bourgmestre de la ville afin de voir ce qu’il pourrait faire pour moi. C’est la première fois que je suis entourée de la sorte. C’est bizarre. Comment décrire ce que je ressens ? Je suis rassurée de constater qu’il y a des gens qui m’épaulent et qui m’aident et puis, je suis stressée par la situation, j’ai envie de pleurer. L’assistant social, Stéphane, me trouve une place dans un foyer d’accueil d’urgence. Mais je la refuse finalement. Je prends cette décision car je ne sais absolument pas vivre en communauté. Je ne saurais pas vivre enfermée avec d’autres 24h sur 24. Je suis bien trop indépendante. Ce qui est vraiment agréable, c’est que Stéphane accepte ma décision et semble même la comprendre. Je trouve cela étonnant.

Quand je rentre chez moi, tard le soir, je me rends dans la salle de bain. J’y craque. Je me regarde dans le miroir mais, je ne fais que m’y refléter comme si je n’avais pas d’âme. En fait, je me sens vide et inexistante. Je suis usée par le chemin que j’ai entreprit de faire. Dans le miroir, je ne me vois pas ! Je monte me coucher. Mon angoisse va peut-être passer comme les longues minutes que je regarde au travers des heures.