En 1976 (grande année), le Punk éclatait simultanément sur les scènes anglaises et américaines avant de mettre le feu à toute la planète. Mouvement sans ordre (Anarchy ; No futur ; ni dieu ni maître) en réponse à la monotonie d’une époque fade d’où la jeunesse se sentait exclue, sans repère et sans objectif (ça vous rappelle quelque chose ?), le Punk allait se nourrir des germes de révolution que le rock, d’Elvis aux Who, avait semé sur sa route.
Lorsque que The Clash, The Jam, MC5, The SexPistol, The NewYorkDolls, T-Rex et Blondie prennent les commandes des cerveaux des moins de 20 ans, Genesis, Supertramp et Pinkfloyd avaient planté un décor sirupeux, engluant la musique rock et pop d’orchestrations ronflantes (et cependant magnifiques) qui provoquèrent un ennui qu’il devenait urgent de briser pour toute une génération de laissés pour compte.
Le règne fulgurant du punk fera des dégâts et des retombées superbes dans la foule en liesse des concerts désordonnés. Le Flower Power fini, les illusions perdues, voici venir le temps de la rage et des cyclones.
Mais le Punk n’a pas mort, récupéré par moment par le star system ou les médias, il continue sa course folle dans les têtes bien fendues de chaque génération d’ado ! Il y a un Punk qui sommeille en chacun de nous ! Longue vie au Punk !
Petite sélection des meilleurs albums:
Les précurseurs:
The Who: Live at Leeds
The Velvet Underground: The Velvet Underground
The Stooges: No fun
Sonics: Sonics
Les purs et durs:
The Clash : London Calling
SexPistols : Nevermind the bullock
Siouxie and the Banshees; Kaleidoscope
The Fall: Grotesque
The Jam: in the city
Gang of four: Entertainment
Dead Kennedys: fresh fruit for rotting vegetables
The Ramones: The Ramones
Blondie: Parallel Lines
Television: Marquee Moon
The Modern Loves: The Modern Lovers
Patty Smiths: Horses
Les successeurs:
Nirvana: Nevermind
Fugazi: Red Medecine
Offspring: Smash
Greenday: American Idiot
NOFX: Punk in Drublic
Arctics Monkeys: Whatever People says I am, that what I’m not.
Pour une vue panoramique d’un genre qui dépasse largement le domaine musical, je vous renvoie aux INROCKS2:PUNK! Avec un CD 15 titres, en kiosque pour le moment !
Vous y trouverez toutes les références dont vous rêvez depuis que vous êtes Punk !
Lorsque que The Clash, The Jam, MC5, The SexPistol, The NewYorkDolls, T-Rex et Blondie prennent les commandes des cerveaux des moins de 20 ans, Genesis, Supertramp et Pinkfloyd avaient planté un décor sirupeux, engluant la musique rock et pop d’orchestrations ronflantes (et cependant magnifiques) qui provoquèrent un ennui qu’il devenait urgent de briser pour toute une génération de laissés pour compte.
Le règne fulgurant du punk fera des dégâts et des retombées superbes dans la foule en liesse des concerts désordonnés. Le Flower Power fini, les illusions perdues, voici venir le temps de la rage et des cyclones.
Mais le Punk n’a pas mort, récupéré par moment par le star system ou les médias, il continue sa course folle dans les têtes bien fendues de chaque génération d’ado ! Il y a un Punk qui sommeille en chacun de nous ! Longue vie au Punk !
Petite sélection des meilleurs albums:
Les précurseurs:
The Who: Live at Leeds
The Velvet Underground: The Velvet Underground
The Stooges: No fun
Sonics: Sonics
Les purs et durs:
The Clash : London Calling
SexPistols : Nevermind the bullock
Siouxie and the Banshees; Kaleidoscope
The Fall: Grotesque
The Jam: in the city
Gang of four: Entertainment
Dead Kennedys: fresh fruit for rotting vegetables
The Ramones: The Ramones
Blondie: Parallel Lines
Television: Marquee Moon
The Modern Loves: The Modern Lovers
Patty Smiths: Horses
Les successeurs:
Nirvana: Nevermind
Fugazi: Red Medecine
Offspring: Smash
Greenday: American Idiot
NOFX: Punk in Drublic
Arctics Monkeys: Whatever People says I am, that what I’m not.
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