
La suite du récit …
1) La rupture :
Seb et moi n’arrêtons plus de nous disputer pour des bêtises. Ça me va loin mais, je n’arrive toujours pas à rompre avec lui. Le fait que je veuille rompre mais que je n’y arrive pas ne fait rien pour que les choses s’arrangent. Je pense que c’est encore bien pire comme ça. Il me reproche de ne pas lui offrir plus de sexe que ça, d’avoir des amis, de voir ces amis, de ne pas m’asseoir à ses côtés en cours. En bref, c’est un gamin à mes yeux. Moi, je lui reproche juste d’être possessif, ça me pourri le reste de vie que je m’octroie. Il pense que je ne ressens rien parce que je suis très froide aux abords. En réalité, je suis comme ça. Je n’aime pas montrer mes émotions. Enfin, je n’ai jamais appris à les montrer.
Je viens de terminer les cours. Je suis à l’arrêt de bus. J’attends avec d’autres élèves. On est en mars mais, il y a un joli rayon de soleil diriger sur la barrière qui a été posée il y a quelques jours. Je suis appuyée sur cette rambarde. Mon copain arrive et s’assied dessus, à côtés de moi. Il me dit devant tout le monde qu’il en a marre. Qu’il ne supporte plus cette situation. Je dois avouer que je ne la supporte plus depuis longtemps mais, je ne lui réponds pas, je préfère l’éviter et aller me mettre un peu plus loin. Je n’ai pas envie de discuter et il ne le comprend pas. Il ne respecte pas mon silence. Alors, comme ça, d’un seul coup, il m’annonce que c’est fini entre nous. Et là, je ne sais pas comment réagir. J’attends ce moment depuis tellement de jours que je ne sais pas quoi lui répondre. Tout ce que je trouve à lui rétorquer c’est lui demander s’il est sur de lui. Je me sens soulagée. Je monte alors m’asseoir au fond du bus, avec mes collègues de classe. Tandis que Seb se place juste derrière le chauffeur. Voilà, il a carrément décidé de ne plus m’adresser la parole. Je trouve cela idiot. Les étudiants sont si puérils souvent. C’est une remarque que je me répète depuis que j’ai repris l’école mais, en fait, ce n’est pas mieux dans le monde du travail.
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Par marge 10327
1) La rupture :
Seb et moi n’arrêtons plus de nous disputer pour des bêtises. Ça me va loin mais, je n’arrive toujours pas à rompre avec lui. Le fait que je veuille rompre mais que je n’y arrive pas ne fait rien pour que les choses s’arrangent. Je pense que c’est encore bien pire comme ça. Il me reproche de ne pas lui offrir plus de sexe que ça, d’avoir des amis, de voir ces amis, de ne pas m’asseoir à ses côtés en cours. En bref, c’est un gamin à mes yeux. Moi, je lui reproche juste d’être possessif, ça me pourri le reste de vie que je m’octroie. Il pense que je ne ressens rien parce que je suis très froide aux abords. En réalité, je suis comme ça. Je n’aime pas montrer mes émotions. Enfin, je n’ai jamais appris à les montrer.
Je viens de terminer les cours. Je suis à l’arrêt de bus. J’attends avec d’autres élèves. On est en mars mais, il y a un joli rayon de soleil diriger sur la barrière qui a été posée il y a quelques jours. Je suis appuyée sur cette rambarde. Mon copain arrive et s’assied dessus, à côtés de moi. Il me dit devant tout le monde qu’il en a marre. Qu’il ne supporte plus cette situation. Je dois avouer que je ne la supporte plus depuis longtemps mais, je ne lui réponds pas, je préfère l’éviter et aller me mettre un peu plus loin. Je n’ai pas envie de discuter et il ne le comprend pas. Il ne respecte pas mon silence. Alors, comme ça, d’un seul coup, il m’annonce que c’est fini entre nous. Et là, je ne sais pas comment réagir. J’attends ce moment depuis tellement de jours que je ne sais pas quoi lui répondre. Tout ce que je trouve à lui rétorquer c’est lui demander s’il est sur de lui. Je me sens soulagée. Je monte alors m’asseoir au fond du bus, avec mes collègues de classe. Tandis que Seb se place juste derrière le chauffeur. Voilà, il a carrément décidé de ne plus m’adresser la parole. Je trouve cela idiot. Les étudiants sont si puérils souvent. C’est une remarque que je me répète depuis que j’ai repris l’école mais, en fait, ce n’est pas mieux dans le monde du travail.
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Par marge 10327